Ce film de et avec Chantal Lauby tire son titre d'une chanson d'Adamo qui est le thème musical principal, comme un leitmotiv des fantasmes d'Odile Rousselet. A 40 ans passés, mère célibataire, son unique fille, quitte le foyer pour s'installer avec son copain. Cette annonce telle une tremblement de terre, chamboule la vie de cette comédienne au succès passé et pour laquelle la solitude pointe largement son nez. Crise de la quarantainte, recherche des frissons de d'amour et solitude donc, sont les thèmes de Laisse tes mains sur mes hanches, comédie rigolote où l'humour made in Les Nuls plane du début à la fin. Malheureusement, les apparitions de Chabat et Farrugia et les références à La cité de la peur ne soutiennent pas la comparaison avec le film de Berbérian, festival d'humour potache aux répliques inoubliables. Non, ici, on rigole peu, on s'ennuie même tant le personnage d'Odile cherche sa nouvelle identité de femme seule sans jamais trouver de réponse qui pourrait faire de ce film une analyse intéressante de ce passage obligatoire pour toute mère. D'ailleurs, l'épisode amoureux d'Odile avec ce jeune forain laisse froid; la scène du "c'est moi qui décide d'embrasser" ressemblant plus à un gag alors qu'on souhaiterait à ce moment du film ressentir un peu d'émotion.
mardi 9 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Laisse tes mains sur mes hanches
Ce film de et avec Chantal Lauby tire son titre d'une chanson d'Adamo qui est le thème musical principal, comme un leitmotiv des fantasmes d'Odile Rousselet. A 40 ans passés, mère célibataire, son unique fille, quitte le foyer pour s'installer avec son copain. Cette annonce telle une tremblement de terre, chamboule la vie de cette comédienne au succès passé et pour laquelle la solitude pointe largement son nez. Crise de la quarantainte, recherche des frissons de d'amour et solitude donc, sont les thèmes de Laisse tes mains sur mes hanches, comédie rigolote où l'humour made in Les Nuls plane du début à la fin. Malheureusement, les apparitions de Chabat et Farrugia et les références à La cité de la peur ne soutiennent pas la comparaison avec le film de Berbérian, festival d'humour potache aux répliques inoubliables. Non, ici, on rigole peu, on s'ennuie même tant le personnage d'Odile cherche sa nouvelle identité de femme seule sans jamais trouver de réponse qui pourrait faire de ce film une analyse intéressante de ce passage obligatoire pour toute mère. D'ailleurs, l'épisode amoureux d'Odile avec ce jeune forain laisse froid; la scène du "c'est moi qui décide d'embrasser" ressemblant plus à un gag alors qu'on souhaiterait à ce moment du film ressentir un peu d'émotion.
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ah bah mince alors ! j'ai adoré ce film moi... faudrait que je le re-regarde d'ailleurs!
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