A trop attendre un film, on en est parfois déçu. C'est un peu le cas avec le nouveau Tim Burton, véritable événement annoncé (comme d'habitude avec Burton). Alice au pays des merveilles 2ème du nom (le 1er de Disney étant sorti en 1951), raconte les tribulations de la jeune Alice retournant au pays des merveilles 13 ans après sa première visite. Alice ne sait plus très bien si elle a déjà connu ce monde peuplé d'étranges créatures, si elle l'a vécu ou bien rêvé ... Les habitants semble l'attendre comme celle qui doit accomplir sa destinée et délivrer ainsi le peuple de la tyrannique la Reine Rouge (Helena Bonham Carter, femme de Burton) qui a pris le pouvoir en libérant le terrible dragon Jabberwocky. Et c'est en s'alliant au chapelier fou (Johhny Depp), qu'Alice surmontera tous les obstacles. A vrai dire, je ne suis pas du tout fan de l'histoire original de Lewis Carroll : c'est un univers particulier dans lequel on entre tout entier ou bien auquel on ne comprend rien. Ce qui m'intéresse dans ce film c'est la rencontre entre l'univers artistique de Tim Burton (dont je suis fan cette fois) et l'imagination débordante d'une histoire inaccessible (pour moi en tout cas). Sur ce plan, le film est techniquement beau, mêlant prises de vue réelle et animation 3D. Les acteurs en sont relayés au second plan (même Johnny Depp) tellement les décors sont le premier personnage du film. Passé cela, l'histoire laisse indifférent. Les enfants quant à eux adoreront. Car malheureusement, on ne retrouve dans ce nouveau Burton cette double lecture adulte-enfant que l'on trouve dans ses autres films tels que Edward aux mains d'argent ou bien Les noces funèbres. C'est en cela que le film le plus attendu de 2010 est une déception.
dimanche 28 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland)
A trop attendre un film, on en est parfois déçu. C'est un peu le cas avec le nouveau Tim Burton, véritable événement annoncé (comme d'habitude avec Burton). Alice au pays des merveilles 2ème du nom (le 1er de Disney étant sorti en 1951), raconte les tribulations de la jeune Alice retournant au pays des merveilles 13 ans après sa première visite. Alice ne sait plus très bien si elle a déjà connu ce monde peuplé d'étranges créatures, si elle l'a vécu ou bien rêvé ... Les habitants semble l'attendre comme celle qui doit accomplir sa destinée et délivrer ainsi le peuple de la tyrannique la Reine Rouge (Helena Bonham Carter, femme de Burton) qui a pris le pouvoir en libérant le terrible dragon Jabberwocky. Et c'est en s'alliant au chapelier fou (Johhny Depp), qu'Alice surmontera tous les obstacles. A vrai dire, je ne suis pas du tout fan de l'histoire original de Lewis Carroll : c'est un univers particulier dans lequel on entre tout entier ou bien auquel on ne comprend rien. Ce qui m'intéresse dans ce film c'est la rencontre entre l'univers artistique de Tim Burton (dont je suis fan cette fois) et l'imagination débordante d'une histoire inaccessible (pour moi en tout cas). Sur ce plan, le film est techniquement beau, mêlant prises de vue réelle et animation 3D. Les acteurs en sont relayés au second plan (même Johnny Depp) tellement les décors sont le premier personnage du film. Passé cela, l'histoire laisse indifférent. Les enfants quant à eux adoreront. Car malheureusement, on ne retrouve dans ce nouveau Burton cette double lecture adulte-enfant que l'on trouve dans ses autres films tels que Edward aux mains d'argent ou bien Les noces funèbres. C'est en cela que le film le plus attendu de 2010 est une déception.
mercredi 24 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Blow
Relatant la véritable histoire de George Jung, Blow raconte l'ascension d'un petit dealer de marijuana au rang de protégé de l'un de plus gros trafiquants mexicains de cocaïne à savoir Pablo Escobar (le célèbre cartel de Medellin). Passons tout d'abord sur la coiffure ridicule de Johnny Depp. Le sujet du film se passant dans les années 70, Ted Demme ne nous épargne rien : musique, vêtement et coupes de cheveux (donc) d'époque. On se croirait dans un hommage aux films et aux séries policière seventies, époque assez ringarde pour le cinéma américain. Malgré ce côté revival, on accroche tout de même à la destinée de ce garçon qui voulu à tout prix échapper à la vie routinière et pénible de ses parents (beau rôle pour l'émouvant Ray Liotta). Bien sûr, ce n'est pas le meilleur de Johnny Depp. De même, le rôle que tient finalement Pénélope Cruz n'est qu'un second rôle ... et un argument de vente sur l'affiche ? Quoi qu'il en soit, on assiste à un bon moment de cinéma sur l'histoire vraie d'un homme avide de liberté mais trop gourmand et trop naïf pour savoir s'arrêter à temps. Finalement et ironiquement, il se retrouvera, un temps, à l'exacte place de son père avant de définitivement se faire arrêter. George Jung est toujours en prison à ce jour : sa libération est prévue en 2014.
mardi 23 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Deux jours à tuer
Difficile de raconter Deux jours à tuer sans en dévoiler le sujet principal sur lequel il est conseillé d'en savoir le moins possible pour apprécier la réalisation. Si vous n'avez pas vu ce film (et souhaitez le voir), ne lisez pas ces lignes.Ce magnifique film de Jean Becker (Elisa, L'été meutrier) réunit Albert Dupontel et Marie-Josée Croze en mari et femme. Il raconte l'histoire d'Antoine (Dupontel) qui en quelques heures, le temps d'un week-end, va détruire tout ce qu'il a : travail, couple, amis. La violence avec laquelle il fout en l'air tout ça a de quoi surprendre voire choquer. L'histoire d'adultère nécessite-t-elle vraiment de mettre fin aussi soudainement à tant d'années d'amour avec sa femme ? N'y aurait-il pas un mal plus profond qu'Antoine cacherait à son entourage ? Le début du film surprend donc : comme la femme d'Antoine, comme ses amis, on ne comprend pas. Et on accepte mal ce début de film tant tout semble démesuré voire irréaliste. Evidemment, le film cache quelque chose. Pour qu'Antoine ait si subitement envie de vivre, c'est parce qu'il vient d'apprendre qu'il va mourir. Lorsqu'on apprend enfin le mal qui le ronge, le film prend une toute autre dimension et c'est la grosse claque. A la manière du personnage du film d'Ozon - Le temps qui reste - Antoine décide de mourir seul (ou presque) en mettant fin à tout ce qu'il a de plus cher, la rupture étant plus simple que l'apitoiement. Cela fait discuter bien sûr : que ferai-je à sa place ? Ce geste égoiste peut-il être compris par sa famille ? Ce film m'a extrêmement ému (comme celui d'Ozon); le sujet m'ayant vraiment touché. Les prestations d'acteurs sont poignantes et Dupontel confirme là son immense talent dramatique. Un film incontournable et inoubliable.
lundi 22 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Je préfère qu'on reste amis
Avant Tellement proches, Olivier Nakache et Eric Toledano mettaient en scène l'histoire de Claude, trentenaire célibataire et timide. Poussé par un ami à consulter un spécialiste des rencontres, il va se lier d'amitié avec un autre client qui, selon ce dernier, enchaine les rencontres et les rendez-vous galants. Jean-Paul Rouve joue le célibataire pas très séduisant (totalement crédible) et Gérard Depardieu joue le cinquantenaire qui assure (aussi crédible, tant il a ligne et la blondeur éclatante d'un jeune premier). Le second va inculquer à l'autre ses trucs pour assurer les rencontres à coups de statistiques rédibitoires. Ces deux acteurs ont un grand potentiel comique. Il jour d'ailleurs tous les deux un rôle qui leur va comme un gant. Mais, il manque un petit quelque chose à ce film qui nous empêche de nous esclaffer et qui nous entretient dans une espèce de retenue désagréable. L'histoire n'a jamais l'air de décoller. On s'en bien que ces deux hommes sont seuls même si l'un ne veut pas l'avouer. D'ailleurs, la compagnie d'un loser tel que Claude ne fait que renforcer son image de belâtre sur le déclin (ce que son ex-femme ne manque pas de lui rappeler). Bref, la morale n'est pas bien surprenante : les personnes profondément seules ne sont pas toujours celles que l'on croit et l'amitié entre ces 2 hommes, intéressée au début, va se transformer entre une réelle complicité. Mais, à l'image de l'affiche, j'aurais préférer rire un peu plus, non ?
mercredi 17 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... MR 73
Après 36, quai des orfèvres et ses flics ripoux, Olivier Marchal s'attaque dans MR 73 (du nom d'un révolver) aux flics détruits. Ces deux thèmes chers à Marchal (ancien policier de la PJ) sont d'ailleurs magistralement repris dans sa récente série Braquo. MR 73 raconte l'histoire de Louis, au plus profond de la dépression tentant sans grande motivation de remonter la pente. Louis, interprété par Daniel Auteuil (qui n'est jamais aussi bon que dans ce type de rôle dramatique) a perdu sa fille dans un accident de voiture et sa femme est restée tétraplégique. Une histoire de meurtres en série va le faire tenir malgré l'alcool et ses dérives professionnelles qui sont de plus en plus nombreuses. Il évite de peu le chômage qui signifierait sa fin. Parallèlement à cela, un meurtrier, qu'il a mis sous les verrous 30 ans plus tôt, va être libéré ...Le drame de Louis pourrait être transposé dans n'importe quel milieu, mais il trouve dans le milieu policier une certaine résonnance. On y voit d'abord, un police qui passe les pires abus d'un flic parce qu'il a été respectable par le passé. Puis on y voit, d'autres flics prêts à tout pour enfoncer leur collègue (autre thème de 36, quai des orfèvres). On se demande en voyant les films de Marchal, comment ce dernier aurait fini s'il était resté à la PJ tant ses films sont sombres et sans espoir. Cette réalité, si elle est telle qu'il l'a décrit, a de quoi faire frémir. Rares sont les films policiers qui entre aussi profondément dans les méandres des relations entre psy et flics comme si, et on ne peut s'empêcher d'y penser, Olivier Marchal allait passer le reste de sa vie à exorciser, à travers ses films, les traumas du passé.
mardi 16 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Tellement proches
Nouvelle comédie sur la famille, Tellement proches démarre sur les chapeaux de roues. Invités, comme chaque semaine, chez son beau-frère, Alain et sa femme Nathalie vont passer une soirée ... mémorable entre crises de nerfs et concours de baffes. En effet, Alain (Vincent Elbaz), en épousant Nathalie (Isabelle Carré), ne savait pas qu'il épouserait aussi sa famille; son beau-frère en tête (François-Xavier Demaison). Tiraillé entre le sens de la famille de sa femme et son rejet pour toutes les valeurs de sa belle-famille, Alain est au bord de l'explosion : ce qui arrive... lorsque excédée, sa belle-soeur gifle l'enfant turbulant d'Alain et Nathalie. Cette scène de dîner est un régal. Le couple joué par Audrey Dana et FX Demaison est vraiment drôle dans le genre parents idéals prenant leur fille pour un singe savant. Le reste du film est moins enlevé mais il réserve tout de même des pointes de rires ici ou là. La bonne surprise est que le fond du sujet de ce film reste l'admiration d'un enfant pour son père : c'est touchant et assez inattendu quand on voit toutes les directions et tous les thèmes que ce film tente d'aborder sans jamais pour autant oublier son rôle premier : faire rire et là, c'est de la famille qu'on rit ... ce qui ne fait pas de mal.samedi 13 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... La ligne rouge (The thin red line)
Si ce film devait avoir une suite, ce pourrait être Voyage au bout de l'enfer et Jarhead comme proche cousin. Scrutant les traumas les plus profonds des soldats américains, Terrence Malick (réalisateur rare mais talentueux) réalise un film hyper-réaliste où la mort et la peur sont les premiers acteurs. L'action n'est pas vraiment située ni en lieu, ni en date (il s'agit de la bataille de Guadalcanal) : comme si cette guerre pouvait être n'importe laquelle; le sujet n'étant pas la reconstitution d'une bataille. A travers des journées de tuerie, Malick s'attarde sur les visages de soldats du plus au moins gradé. On y voit ces hommes qui ont peur de mourir, de ne plus revoir leur femme (qui est donc cette femme que l'on voit en flashback, la femme de l'un d'entre eux ou celle de tous à la fois ?), qui ont aussi peur de tuer, qui pense à la désertion, à la désobéissance. Parmi ces hommes, il y en a un qui n'a pas peur de la mort, croyant à une vie dans l'au-delà, croyant à un repos mérité. Il est le narrateur du film et est magnifiquement interprété par Jim Caviezel (La passion du Christ). Terrence Malick a l'intelligence de montrer aussi que les Japonais du camp adverse sont autant terrorisés que leurs assaillants : la guerre n'est pas qu'une opposition entre brutes sans consciense comme on a l'habitude de le voir au cinéma. Terrence Malick fait partie de ces cinéastes (tout comme Sam Mendes) qui analysent, à travers leurs films, la nature de l'homme et aux traumatismes indélébiles (on le sait) que ces expériences laisseront. A noter que la réputation de Malick était telle qu'à l'époque de la réalisation de ce 4ème film en 30 ans, le tout Hollywood se pressa pour faire partie de l'événement : Nick Nolte, John Travolta, Sean Penn, John Cusack, George Clooney, Woody Harrelson et bien d'autres sont ces hommes blessés et traumatisés par une guerre qui reste une question sans réponse.
jeudi 11 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Avatar
mardi 9 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Laisse tes mains sur mes hanches
Ce film de et avec Chantal Lauby tire son titre d'une chanson d'Adamo qui est le thème musical principal, comme un leitmotiv des fantasmes d'Odile Rousselet. A 40 ans passés, mère célibataire, son unique fille, quitte le foyer pour s'installer avec son copain. Cette annonce telle une tremblement de terre, chamboule la vie de cette comédienne au succès passé et pour laquelle la solitude pointe largement son nez. Crise de la quarantainte, recherche des frissons de d'amour et solitude donc, sont les thèmes de Laisse tes mains sur mes hanches, comédie rigolote où l'humour made in Les Nuls plane du début à la fin. Malheureusement, les apparitions de Chabat et Farrugia et les références à La cité de la peur ne soutiennent pas la comparaison avec le film de Berbérian, festival d'humour potache aux répliques inoubliables. Non, ici, on rigole peu, on s'ennuie même tant le personnage d'Odile cherche sa nouvelle identité de femme seule sans jamais trouver de réponse qui pourrait faire de ce film une analyse intéressante de ce passage obligatoire pour toute mère. D'ailleurs, l'épisode amoureux d'Odile avec ce jeune forain laisse froid; la scène du "c'est moi qui décide d'embrasser" ressemblant plus à un gag alors qu'on souhaiterait à ce moment du film ressentir un peu d'émotion.
lundi 8 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Kingdom of heaven
Pendant les guerres saintes, un ferronier français devient le défenseur de Jérusalem. Quel destin ! Bon, raconté comme ça, on a du mal à y croire. Mais cette histoire est inspirée de faits réels et c'est sans se souvenir du talent de Ridley Scott pour mettre en scènes les épopées grandioses d'âmes blessées et esseulées. On ne peut s'empêcher de comparer ce film et son héros Balian (Orlando Bloom) à Gladiator et Maximus dont le femme et les enfants ont été sauvagement assassinés. Ici, la femme qui portait l'enfant de Balian s'est donnée la mort; ses funérailles honteuses et cruelles finissant par pousser le futur chevalier à quitter son village perdu de France et suivre une troupe de soldats en partance pour la Terre Sainte. Retrouvant ainsi son père (Liam Neeson), Balian va trouver la force et le courage de défendre un peuple nouveau pour lui qui subit les pressions et les humiliations d'une horde de guerriers avides de sang et de batailles. L'interprétation d'Orlando Bloom n'a pas l'aura vengeresse que pouvait avoir celle de Russel Crowe : le choix de cet acteur habitué aux rôles en jupette et épée (Le seigneur des anneaux, Troie) n'est peut-être pas la meilleure idée. Les seconds rôles sont plus convaincants : Eva Green, Jeremy Irons ou Liam Neeson. Malgré tout ce film se regarde avec un certain plaisir notamment pour ses batailles haletantes et merveilleusement orchestrées. Pas le meilleur de Ridley Scott (Alien, Blade Runner) mais pas le plus mauvais non plus.
dimanche 7 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Les femmes de l'ombre
Episode méconnu de la seconde guerre mondiale, la résistance par les femmes est le sujet du film de Jean-Paul Salomé (Restons groupés). Les femmes de l'ombre sont interprétées par un quatuor d'actrices célèbres : Sophie Marceau, Julie Depardieu (Le bal des actrices), Marie Gillain (L'appât) et Deborah François (Le premier jour du reste de ta vie). Autant dire que le charme est présent tout le temps et il est intéressant de voir, à la différence des films de guerre habituels squattés par les hommes, que ces femmes, malgré leur engagement, restent des femmes avec leurs problèmes et leur conscience (l'amour sacrifié de Marie Gillain, la foi de Deborah François, la maternité de Sophie Marceau). L'histoire raconte comment 4 femmes sont appelées par le responsable d'un contingent de l'armée française basé à Londres pour sauver un espion capturé par les nazis retenu dans un hôpital qu'elles devront infiltrer. Ce film ne nous épargne pas les scènes de torture et de violence montrant ainsi que la guerre des femmes était la même que celle des hommes. Et en cela, le film de Salomé mérite l'attention. Malheureusement, Les femmes de l'ombre manque d'une certaine émotion qui limite l'attachement aux personnages : le jeu de Sophie Marceau interprétant un personnage froid et profondément blessé prête moins à la compasssion que les autres mais à cette époque, ne valait-il mieux ne pas montrer ses faiblesses pour sauver sa peau ? Coté second rôle, mention spéciale au lieutenant nazi interprété par Moritz Bleibtreu apperçu notamment dans L'expérience (Oliver Hirschbiegel).mercredi 3 mars 2010
Hier soir, j'ai vu ... Destination finale 2 (Final destination 2)
Vous connaissez sans doute le principe de la quadrilogie Destination finale : une victime potentielle a une vision où elle se voit, elle et ses copains, mourir dans un accident très ... grand spectacle. Mais en voulant échapper à leur destin, les jeunes gens ont défié la loi de la nature. La Mort ne va donc pas s'arrêter là mais au contraire va les traquer sans cesse jusqu'au dernier. Fort de son succès en salles, les producteurs de Destination finale ont développé 4 films. Le 1er voyait une classe entière périr dans un accident d'avion à l'exception de quelques-uns. Dans ce numéro 2, c'est à un carambolage spectaculaire que la jeune héroïne et ses 3 copains échappent. Ce qu'il y a de (presque) culpabilisant, c'est qu'en se mettant devant ce film, on sait que l'on ne va pas trouver un chef d'oeuvre mais le plaisir de voir comment la Mort va mettre en place ses pièges redoutables est plus fort. C'est effectivement à voir au second degré et je ne pense pas que les épisodes suivants amènent quelque chose de nouveau à la saga à moins que finalement, tout cela ne soit pas lié au hasard surnaturel mais à un vengeur dérangé ... Ouh la la, ça donnerait presque envie de voir la suite ... avec pizza et bière obligatoires !
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