dimanche 16 août 2009

Hier soir, j'ai vu ... G.I. Joe, le réveil du Cobra

A n'en pas douter, c'est le bon gros film d'action de l'été. Les fans de Transformers (les enfants de 10 ans ?) seront ravis d'autant plus qu'il s'agit encore une fois d'une adaptation à l'écran des célèbres jouets de notre enfance, à nous, les gars ! Les G.I. Joe sont aux garçons ce que sont les Barbies aux filles (à quand le long métrage Barbie Infirmière ?). J'ai moi-même possédé une bonne vingtaine de G.I Joe sans compter les accessoires et autres véhicules. Et c'est avec une pointe de déception que j'ai pu constater que je ne retrouvais pas, dans ce film, les jouets que je possédais, mis à part Snaye Eyes, en bas à droite de l'affiche. Les jouets sont bien un prétexte pour ce film sans intérêt sauf pour la génération Fast and Furious. Il n'est qu'une suite de courses-poursuites, de casses de voitures (le film tient d'ailleurs le record dans l'histoire du cinéma) et de combats entre les bons (en bas de l'affiche) et les méchants de l'organisation Cobra (en haut donc). L'acteur principal est d'une platitude déconcertante; les autres s'en tirent mieux dans le second degré. A sauver tout de même, la scène de la destruction de la Tour Eiffel : c'est un petit trésor bourré d'effets spéciaux pendant laquelle on se délecte d'assister à ce gigantesque effondrement. La course-poursuite dans les rues de Paris n'est pas mal non plus : sauf que les méchants auraient pu atteindre plus vite leur cible si, pour atteindre la Tour Eiffel, ils n'étaient pas passés du quartier de l'Arc de Triomphe par ... Notre-Dame ! Sans parler, des panneaux de circulation inexistants en France : les scène parisiennes ayant été tournées en République Tchèque. Heureusement, je n'ai payé que 4 euros pour voir G.I. Joe au cinéma de plein air de mon camping.

Effondrement de la Tour Eiffel :

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