Le nouveau film de Christopher Nolan est un bijou scénaristique peaufiné, selon lui, pendant 10 ans. Dom Cobb (Leonardo DiCaprio) est un extracteur c'est-à-dire qu'il maîtrise la capacité de dérober des informations personnelles et stratégiques en se baladant dans les rêves de sa "victime". En général, ses victimes sont de riches industriels et des hommes puissants, et lui est employé par des rivaux pour effectuer son larçin. Mis à l'écart de sa famille, il a la possibilité de se racheter s'il effectue une nouvelle mission un peu différente de ce qui fait sa renommée. Il lui est proposé d'intégrer une idée dans l'esprit de quelqu'un - l'inception - mission plus difficile et plus dangereuse que l'extraction. Avec une équipe de spécialiste, Dom Cobb va se projeter au plus près de l'insconcient et du rêve. La majorité du film se passe dans les rêves des personnages. Ces rêves sont partagés : plusieurs héros de l'équipe participent de façon consciente au même rêve d'un "client" qui lui ne se doute de rien. Ces rêves sont conçus par un architecte (Ellen Page, Juno) : le client est donc baladé dans des décors (connus des spécialistes) dans lesquels viennent se projeter les images du subconscient du rêveur principal. Tout cela a de quoi nous faire perdre le fil. Mais Nolan gère à la perfection son scénario sans perdre le spectateur dans les lymbes abyssales. Tout semble facile pour Dom Cobb mais c'est sans compter sur son propre subconscient qui vient mettre à mal la mission. En effet, sa propre femme, interprétée par Marion Cotillard (La Môme), survient souvent au détour des missions et fait perdre à Cobb l'objectif principal. Ces apparitions sont dignes des plus grands suspenses; Nolan réusissant au final l'un des plus grands films du genre depuis longtemps. Quant à la toute dernière scène, c'est sûr, elle va faire parler : alors, selon vous, rêve ou réalité ?jeudi 29 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... Inception
Le nouveau film de Christopher Nolan est un bijou scénaristique peaufiné, selon lui, pendant 10 ans. Dom Cobb (Leonardo DiCaprio) est un extracteur c'est-à-dire qu'il maîtrise la capacité de dérober des informations personnelles et stratégiques en se baladant dans les rêves de sa "victime". En général, ses victimes sont de riches industriels et des hommes puissants, et lui est employé par des rivaux pour effectuer son larçin. Mis à l'écart de sa famille, il a la possibilité de se racheter s'il effectue une nouvelle mission un peu différente de ce qui fait sa renommée. Il lui est proposé d'intégrer une idée dans l'esprit de quelqu'un - l'inception - mission plus difficile et plus dangereuse que l'extraction. Avec une équipe de spécialiste, Dom Cobb va se projeter au plus près de l'insconcient et du rêve. La majorité du film se passe dans les rêves des personnages. Ces rêves sont partagés : plusieurs héros de l'équipe participent de façon consciente au même rêve d'un "client" qui lui ne se doute de rien. Ces rêves sont conçus par un architecte (Ellen Page, Juno) : le client est donc baladé dans des décors (connus des spécialistes) dans lesquels viennent se projeter les images du subconscient du rêveur principal. Tout cela a de quoi nous faire perdre le fil. Mais Nolan gère à la perfection son scénario sans perdre le spectateur dans les lymbes abyssales. Tout semble facile pour Dom Cobb mais c'est sans compter sur son propre subconscient qui vient mettre à mal la mission. En effet, sa propre femme, interprétée par Marion Cotillard (La Môme), survient souvent au détour des missions et fait perdre à Cobb l'objectif principal. Ces apparitions sont dignes des plus grands suspenses; Nolan réusissant au final l'un des plus grands films du genre depuis longtemps. Quant à la toute dernière scène, c'est sûr, elle va faire parler : alors, selon vous, rêve ou réalité ?mercredi 28 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... The dark knight
On avait laissé Batman, nouveau gardien de Gotham City, une carte de jeu dans la main représentant le Joker... The Dark Knight, toujours réalisé par l'excellent Christophe Nolan (Memento, Insomnia) raconte la lutte sans merci entre Bruce "Batman" Wayne et le Joker interprété par l'incroyable et regretté Heath Ledger. Si vous vous attendez à voir un remake du Batman de Tim Burton alors vous allez être surpris. Alors que le film de Burton était d'un sombre novateur et tellement adapté à la personnalité du héros, la version de Nolan est tout aussi sombre mais aussi d'une grande violence. Batman trouve en Joker son rival la plus magistral; l'un mettant à nu le coté le plus sombre de l'autre. On est loin de l'idée du Batman valeureux, qui n'a peur de rien. Ici, malgré ses talents, il a ses faiblesses et notamment, son amour impossible pour Rachel (Maggie Gyllenhaal). Il a ses échecs aussi et la fin du film ne lui épargne rien. Christopher Nolan ne nous propose aucun temps mort : le film va vite, les scènes d'action se succédant sans pause sur près de 2h30. Le film pourrait d'ailleurs s'arrêter plus tôt mais ce serait sans préparer la naissance d'un nouveau personnage : Double-Face qui nous offre là, un visage ... plutôt effrayant. Ce dernier sera sans aucun doute exploité dans une prochaine suite. Bref, ce film est un concentré d'action proposant plusieurs histoires en un film ce qui en fait sa richesse, posant ainsi les bases d'une nouvelle et longue franchise pour Warner Bros.
lundi 26 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... Le premier qui l'a dit (Mine vaganti)
Nouvelle comédie italienne dans la lignée de l'excellent Juste un baiser (Gabriele Muccino), Le premier qui l'a dit a ses qualités et ses défauts. Côté qualité, le scénario donne l'eau à la bouche : Tommaso (Riccardo Scamarcio), benjamin d'une riche famille italienne qui a fait sa fortune dans la fabrication de pâtes, a décidé de révéler, lors du prochain dîner en famille, son homosexualité. Il est d'ailleurs prêt à endurer la réactions de ses parents; cela gâchant, en plus, ses chances de prendre un jour la place de son père : son cauchemar par dessus tout. Durant ce fameux dîner et contre toute attente, c'est le frère aîner Antonio, mis plus tôt dans la confidence de ce qu'allait tenter son frère, qui révèle sa propre homosexualité. Vu la réaction du père, Tommaso est coincé et ravale son coming-out. Une série de quiproquos et d'explications familiales vont se succéder... Le film commence donc en mettant la barre très haut question surprise scénaristique. De plus, le sujet sur la rivalité fraternelle est intéressante : aucun ne veut travailler dans la fabrique de pâtes, chacun étant devenu inconsciemment l'opposé de ce que leurs parents imaginaient. Coté défaut, certains passages viennent plomber cette analyse familiale que Ferzan Ozpetek tente de nous dépeindre. En effet, les scènes où les copains "fofolles" de Tommaso débarquent font tomber le film dans les clichés homosexuels habituels : le réalisateur auraient pu se passer de cela. Néanmoins, il reste de beaux moments à ce film original : voir le coming-out littéraire inattendu ou le suicide sucré.
samedi 24 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... Le dernier métro
Célèbre film utra-récompensé (10 César) de François Truffaut (Les 440 coups, Jules et Jim, Baisers volés), Le dernier métro raconte l'histoire d'une troupe de théatre menée par Marion Steiner (Catherine Deneuve) qui, sous l'occupation en 1942, fait tout pour réussir, malgré la censure, à monter et présenter sa pièce. Alors qu'elle dirigeait jusque-là le théatre avec son mari Lucas, juif allemand, ce dernier a été obligé de fuir la France pour éviter la déportation. Marion et sa troupe sont donc bien décidés à continuer le travail respecté de son cher mari. Tout d'abord ce film incontournable de part sa renommée, met en scène deux des plus grands acteurs du cinéma français : Catherine Deneuve (César de la meilleure actrice) et Gérard Depardieu (César du meilleur acteur) en jeune premier qui porte le rôle principal de cette pièce où il joue l'amant de Marion. Ensuite, les thèmes abordés par Truffaut sont intéressants : l'occupation allemande et le courage de ces artistes pour continuer, malgré tout, ce qui les passionne, l'ambivalence de certains personnages partagés entre deux passions ou entre deux activités (le mari et le comédien pour Deneuve, la résistance et la comédie pour Depardieu) et l'homosexualité féminine. On sent que tous ces thèmes sont les symboles d'une résistance à l'oppresseur et ceux d'une vie que veulent, à tout prix, vivre ces personnages. Aujourd'hui, pas sûr que ce film plaise autant qu'à l'époque mais il véhicule avec intelligence l'idée "d'envie de vivre" à une époque cruelle dont, quoi qu'il arrive, nous nous éloignons inexorablement. Un beau rappel historique.
vendredi 23 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... Un prophète
Un prophète ou comment un jeune beur arrivant en prison va gravir les échelons et devenir plus caïd en en sortant que lorsqu'il y est entré. Car s'il y a bien une leçon à retenir du film de Jacques Audiard (Sur mes lèvres) c'est que la prison n'a rien bon : à défaut de vous détruire, elle vous rend pire qu'avant. Malik El Djebena (Tahar Rahim) est condamné à 6 ans de prison. Dès son arrivée, contraint par un gang corse d'assassiner un autre prisonnier, il devient l'homme à tout faire de César Luciani (Niels Arestrup). Petit à petit, de plus en plus intégré, il va se faire son propre réseau jusqu'à finir par renier le père et démarrer sa propre histoire de véritable trafiquant. Le film s'attarde sur les 6 années de prison. Cette prison est véritablement bien filmée par Audiard, loin des clichés du genre. La réalité de l'enfer carcéral nous saute à la gorge dès les 1ères images et on sent immédiatement tout le travail minutieux apporté par son réalisateur et son équipe (acteurs compris) à cette histoire. Malik est un garçon intelligent. Bien qu'analphabète au départ, il va apprendre la langue de sa nouvelle famille. Déterminé, il ira tout d'abord au bout de ses premiers contrats pour mieux faire ses propres choix ensuite. Il a tout du grand caïd et le respect gagné à l'intérieur des murs de la prison se gagne aussi à l'extérieur... il faut dire que tout le monde se connait dans le milieu. L'interprétation des deux personnages principaux est remarquable, sensible et sincère. Je croirai volontier que Niels Arestrup a passé des années en prison pour réussir à être à la hauteur d'un tel rôle. Mais d'une manière générale, quelque chose me gêne dans ce film : est-ce ce côté "trop parfait" qui d'une certaine manière rend ce film froid et peu attachant. Depuis De battre mon coeur s'est arrêté, j'avoue passer à coté de la filmographie de Jacques Audiard. Mais peut-être, me direz-vous, que ce côté froid et peu attachant est justement le symbole de cette prison que tente de nous dépeindre Audiard et qu'il ne peut en être autrement. Et vous, qu'en pensez-vous ?
mercredi 21 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... Toy Story 3
Alors qu'Andy à 17 ans et qu'il s'apprête à partir à l'université, Woody, Buzz et les autres tentent de savoir ce qu'il va leur arriver : le grenier ou pire, la poubelle. Mais un quiproquo va les mener tout droit dans une crèche. Tout pourrait sembler rose pour nos jouets préférés (un seconde vie auprès d'enfants étant leur rêve) si cette crèche n'était le repère d'un ours cruel pour qui l'amour d'un enfant est un douloureux et lointain souvenir. Toy Story 3 est une merveille ... au sens propre comme au figuré. Il émerveille tant il réussit à véhiculer et à faire ressentir les sentiments que jadis chacun de nous a pu avoir un jour, pour l'un de ses jouets. Il émerveille tant ce sentiment, justement, est indéfinissable; pourtant on le ressent en regardant ce film. Il émerveille par l'humanité qui se dégage de ses personnages imaginaires, humanité et l'attachement qui en découle, construits au fur et à mesure des 3 histoires. Il émerveille par son humour (voir Ken défilé sur Le Freak de Chic ou Buzz reprogrammé en espagnol), par son émotion (peut-être quelques yeux embués à la fin ?), par sa continuité. Les gars de chez Pixar sont très forts. Car il faut des arguments pour réaliser un 3ème épisode alors quand ce nouvel opus surpasse les 2 premiers, on ne peut qu'espérer une nouvelle suite. D'ailleurs, on voit d'ici le sujet du prochain film : Andy, adulte, passe les témoins de ses années d'enfance à ses propres progénitures par exemple. Après 15 ans de bons et loyaux services, Toy Story reste le top dans la catégorie animation. Courez le voir ... pour un plaisir to infinity and beyond !
mardi 20 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... Batman
Sorti en 1989, le Batman de Tim Burton ouvre l'ère des blockbusters (record de recette à l'époque) et assoit définitivement la réputation de Burton auprès des studios, réputation commencée avec les inventifs Beetlejuice et Pee-Wee Big Adventure. Burton a avoué plus tard son erreur d'avoir conçu les effets spéciaux de son film à la manière des précédents c'est-à-dire volontairement sommaire voire kitsch. En effet, cette version de Batman a vieilli. Elle ne se regarde plus aussi bien qu'à l'époque même si des éléments demeurent irréprochables : la musique de Danny Elfman, les décors de Gotham City et le costume de Batman. D'ailleurs les fans reprochaient à Burton d'avoir conçu un costume au contours musculeux allant jusqu'à traiter ce dernier de traitre suite à son idée de montrer Batman ... en noir ! Il faut dire que la dernière apparition de Batman pour le public datait de la prestation d'Adam West. Burton a vite compris qu'il fallait dépoussiérer tout cela pour réussir son film et restait, de plus, totalement en accord avec la vision sombre et psychologique du personnage dépeint dans les romans graphiques de Frank Miller. Le Joker magnifiquement interprété par un Jack Nicholson déjanté a lui aussi pris un coup de vieux mais cette prestation reste drôle et inoubliable. Finalement, vu le chemin parcouru depuis avec les 2 films de Christopher Nolan (Batman begins, The dark knight), Batman n'est plus au niveau question récit. Par contre, il reste une oeuvre à part et une pièce indispensable à la filmographie unique de l'un des plus grands réalisateurs de ces dernières décennies.En musique, le thème principal :
samedi 17 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... Les petits ruisseaux
Tiré de sa propre bande-dessinée, Pascal Rabaté réalise un film émouvant, sensible et rare. Et pour aller au bout de l'originalité, il offre à Daniel Prévost (Le dîner de cons, Uranus) l'un de ses rôles les plus émouvants. Prévost interpète Emile, retraité et veuf, profitant de la vie grâce à de simples parties de pêches avec son copain Edmond et des rendez-vous au café du coin. Alors que la vie en couple semble avoir oublié Emile, Edmond, quant à lui, n'oublie pas les petites annonces et autre bals soit autant d'occasions pour faire des rencontres. Ce qui n'est pas sans poser des questions à Emile : que veut-il faire du reste de sa vie. Alors que son meilleur ami meurt subitement, Emile, se retrouvant seul, va devoir affronter son destin : la solitude ou, à nouveau, la flamme. Ce film traite sans tabou ni moquerie de l'amour et du sexe chez les sexagénaires (Prévost tournant à l'occasion la 1ère scène d'amour de sa longue carrière). A travers ces hommes et ces femmes qui ont connu d'autres vies auparavant leur apportant tout le bonheur (enfants, familles) mais qui se retrouvent seuls avec du temps à ne savoir qu'en faire, Pascal Rabaté filme une histoire tendre où les acteurs jouent à merveille. Emile redécouvre donc la vie à travers plusieurs histoires, à travers diverses expériences dont l'une d'elle fait inexorablement penser à celle d'Alvin dans Une histoire vraie de David Lynch ou bien celle Jack Nicholson dans Monsieur Schmidt où chacun d'eux va entreprendre un voyage initiatique, symbole du renouveau et de la redécouverte de soi. Dans ces 3 histoires et à cet âge avancé, un grand pas vers une nouvelle vie commence déjà par réussir à partir de chez soi. On parle ou plutôt la rumeur parle d'un éventuel César pour Daniel Prévost : rendez-vous pris en février 2011 pour les résultats.
vendredi 16 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... Tamara Drewe
Une campagne paisible, des écrivains au vert, la vie semble s'écouler au mieux pour les habitants de cette petite bourgade anglaise vivant au rythme des vaches et des proses plus ou moins romantiques. Jusqu'au jour où une fille du pays, journaliste à la capitale, revient vivre dans la maison de ses parents. A partir de là, les coeurs paisibles vont se délier, Tamara Drewe déchainant directement ou non de véritables passions. Disons-le, le nouveau film de Stephen Frears (The Queen, Les liaisons dangereuses) démarre sur les chapeaux de roues. On se croirait dans un Woody Allen, époque Comédie érotique d'une nuit d'été, reboosté pour les spectateurs de 2010. Ce début de film où l'on découvre toute cette galerie de personnages tous plus truculents les uns que les autres et petit à petit le lien qui les unit à Tamara Drewe (Gemma Aterton, vue dans Quantum of Solace) est un véritable régal. Les décors de cette campagne sont pour beaucoup quant à la façon dont on a d'entrer doucement mais sûrement dans cette jolie comédie. Malheureusement, la seconde partie du film décentrant trop le débat sur des histoires satellites (voir celle avec les deux fillettes) perd de vue ce qui faisait l'originalité du début. Et du coup, c'est l'ennui qui nous guette. Bien que la fin soit d'un humour noir plaisant - les personnages finissant par montrer une toute autre facette d'eux-mêmes - le film laisse un goût d'inachevé ou plutôt de mal achevé. Dommage, tout avait si bien commencé.
vendredi 2 juillet 2010
Hier soir, j'ai vu ... Millénium 2 (Flickan som lekte med elden)
Découvrir le 1er tome adapté au cinéma était une réelle curiosité pour plusieurs raisons : tout d'abord, comment le suspense très lent allait être retranscrit dans un long métrage ? Ensuite, existait-il sur cette terre des acteurs ou plus précisément une actrice pour incarner la véritable héroïne de la série ? A la 1ère question, le réalisateur avait répondu à la hauteur de ce que l'on peut attendre d'un film inspiré d'un bouquin que l'on a aimé (c'est mon cas) : ça reste toujours mieux dans le bouquin. Pour ce second numéro, même réponse : le scénario du film reprend exactement le récit en excluant le surperficiel sans rien inventer. Mais l'essentiel n'est pas là. L'intérêt de ce 2nd Millénium reste son actrice principale : Noomi Rapace alias Lisbeth Salander. Outre le film qui reste un polar classique, on trépigne d'avance à l'idée de voir les scènes d'action (davantage présentes que dans le 1er) où Lisbeth se défend, attaque, donne des coups et en prend. C'en est presque joussif tant la révolte de cette fille est réellement bien interprétée à l'écran. Elle fait d'ailleurs passer tous les autres personnages au second plan; à croire que le réalisateur et le responsable du casting ne se sont pas cassé la tête, recrutant notamment une Erika Berger (maîtresse de Blomkvist) peu séduisante sans parler du reste du casting, peu crédible (Super Blomkvist y compris). La question est donc : quels sont les projets de cette jeune actrice suédoise ? Pas grand chose sur le net pour le moment. Mais je prends d'ores et déjà les paris : elle reviendra !
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