Voici l'American Pie des quadra. Ou plutôt une comédie sur les quadra pour les fans d'American Pie. Car comme vous pouvez vous en douter, ça ne vole pas haut dans 40 ans, toujours puceau. Andy, 40 ans donc, a un travail pépère dans un magasin de télé. Un soir, ses collègues découvrent qu'il n'a jamais eu de relations sexuelles et se mettent en tête de lui faire oublier coûte que coûte, de conseils tordus et sorties arrosées, 20 ans d'abstinence. Tout d'abord, les dialogues sont crus : c'est plutôt vulgaire et réellement bien assumés. Ensuite, les gags sont bien en-dessous de la ceinture mais comme on est dans une comédie américano-américaine, ils ne dévoilent jamais ce que la pudibonderie made in US rejette. D'ailleurs, ce film exprime toute cette ambiguïté bien connue chez nos cousins d'Amérique, à savoir l'extrême vulgarité avec laquelle ils peuvent traiter un sujet comme le sexe chez les hommes et les femmes tout en gardant en même temps cet esprit puritanisme. Autant le début du film prône le sexe à tout va, avec n'importe qui et n'importe comment du moment qu'il y a un string à claquer; autant la seconde partie fait l'apologie de l'abstinence comme si Judd Apatow (réalisateur) s'excusait de tout un pan de son film. Et cela est énervant même si certains gags font rire, il faut bien l'avouer mais tout cela n'a aucun intérêt. A noter que l'acteur principal Steve Carell est un comique très célèbre dans son pays et que ce film est inspiré de l'un de ses sketchs.
mardi 12 janvier 2010
Hier soir, j'ai vu ... 40 ans, toujours puceau (The 40 year old virgin)
Voici l'American Pie des quadra. Ou plutôt une comédie sur les quadra pour les fans d'American Pie. Car comme vous pouvez vous en douter, ça ne vole pas haut dans 40 ans, toujours puceau. Andy, 40 ans donc, a un travail pépère dans un magasin de télé. Un soir, ses collègues découvrent qu'il n'a jamais eu de relations sexuelles et se mettent en tête de lui faire oublier coûte que coûte, de conseils tordus et sorties arrosées, 20 ans d'abstinence. Tout d'abord, les dialogues sont crus : c'est plutôt vulgaire et réellement bien assumés. Ensuite, les gags sont bien en-dessous de la ceinture mais comme on est dans une comédie américano-américaine, ils ne dévoilent jamais ce que la pudibonderie made in US rejette. D'ailleurs, ce film exprime toute cette ambiguïté bien connue chez nos cousins d'Amérique, à savoir l'extrême vulgarité avec laquelle ils peuvent traiter un sujet comme le sexe chez les hommes et les femmes tout en gardant en même temps cet esprit puritanisme. Autant le début du film prône le sexe à tout va, avec n'importe qui et n'importe comment du moment qu'il y a un string à claquer; autant la seconde partie fait l'apologie de l'abstinence comme si Judd Apatow (réalisateur) s'excusait de tout un pan de son film. Et cela est énervant même si certains gags font rire, il faut bien l'avouer mais tout cela n'a aucun intérêt. A noter que l'acteur principal Steve Carell est un comique très célèbre dans son pays et que ce film est inspiré de l'un de ses sketchs.
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